L’analyse de Gérard Amevet : ”Septième de groupe et quatrième de classe : J’ai du mal à expliquer l’écart qui me sépare de Nicolas Peyroche (vainqueur du groupe F) que j’avais battu l’année dernière : presque huit secondes ! Quelques raisons : mon concurrent disposait d’un excellent moteur bien préparé cet hiver, d’une voiture bien adaptatée à un circuit plutôt technique. J’ai étudié mes caméras embarquées : j’exploite toute la piste mais les chronos sont mauvais. Il faut mettre en cause les pneus et un moteur pas au mieux de sa forme. L’important, c’est d’être parvenu en finale et de bien analyser les données engrangées au cours de cette saison.”